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Les uchi deshi

Traditionnellement, les uchi deshi étaient des élèves résidant au dojo de leur maître. (uchi : intérieur / deshi : élève) En échange de l'enseignement, du gîte et du couvert, ils étaient entièrement à son service et assumaient tant les corvées du foyer que les responsabilités techniques et administratives du dojo.

 

Les réalités de la vie actuelle ne permettent évidemment plus de fonctionner selon ces modalités. Le terme d'uchi deshi demeure cependant pour désigner les élèves qui prennent certaines responsabilités quant au fonctionnement du dojo et qui s'investissent durablement dans l'étude de l'aïkido.

Les soto deshi (soto : extérieur) sont, quant à eux, les élèves qui ont acquis suffisamment d'autonomie et qui sont partis pour ouvrir leur propre dojo où ils dispensent l'enseignement de leur maître selon leur propre sensibilité. (Le terme soto deshi désigne aussi parfois les élèves visiteurs qui suivent les enseignements d'un autre professeur.)

 

Comme Laurent Parrein est soto deshi d'Alain Peyrache, il a lui-même des uchi deshi (Gaëtan, Tilly, Cedric, Matthieu, Christian...). N'hésitez pas à vous adresser à eux pour toute information sur le dojo et les cours.

 Gaëtan Wolff, uchi deshi.

 

J'ai commencé l'aïkido il y a 11 ans et ce un peu par hasard. Je voulais pratiquer un art martial mais je ne voulais pas non plus me prendre des coups tous les mercredis. Au départ dubitatif j'ai cependant rapidement découvert les nombreux aspects de cette discipline, tant sur le plan martial que de l'hygiène de vie.

 

Très vite l'aïkido s'est imposé à mes yeux comme une excellente conduite à adopter dans la vie quotidienne mais également comme une technique de combat redoutable et cependant non violente.

 

Ce qui me plait le plus est la possibilité qu'offre l'aïki à chacun de pratiquer à sa convenance, de la gymnastique à la technique léthale, en passant par l'activité de groupe du week-end.

Filles comme garçons, jeunes comme plus âgés, novices comme pratiquants confirmés, toutes couches de la société confondues, chacun s'y retrouve et pratique dans une ambiance de respect et d'entraide.

 

L'aïkido m'a beaucoup apporté dans ma vie de tous les jours et notamment dans ma vie professionnelle, amélioration des réflexes, plus de sang-froid, une excellente gestion du stress et des conflits, une nette amélioration de ma condition physique générale, et une philosophie de respect et de non-violence que seule la pratique de l'aïkido de par l'assurance qu'elle procure peut apporter.

 

S'il est vrai que l'aïki éxige investissement et régularité, il est forcé d'avouer qu'il le rend bien.

Tilly Ottinger, uchi deshi.

Cedric Tolley, uchi deshi.

 

C'est en sortant de l'adolescence qu'un peu par hasard j'ai découvert l'existence de l'aïkido lors d'un stage de 15 jours dans un petit village de montagne que j'avais l'habitude de fréquenter pendant les vacances. Séduit par la discipline, il ne m'avait cependant jamais été donné de rencontrer un enseignant qui ne me paraisse pas soit cupide soit imbu de lui-même soit simplement foireux. Après quelques recherches timides, la vie m'emmena ailleurs.

 

C'est beaucoup plus tard que j'ai recroisé le chemin de l'aïkido, en inscrivant mes fils au cours du dojo le plus proche de là où nous habitions.

Leur inscription avait été motivée par mon envie de leur apporter une plus grande aisance corporelle et sociale, d'affermir leur confiance en eux et de leur permettre de faire face à la vie cruelle de la cour de récréation.

Au passage cet objectif est atteint bien au delà de mes espérances initiales.

 

La durée d'un cours était incompatible avec deux aller-retours domicile-dojo. Je restais donc là, à regarder le cours enfant se donner. Au fil des séances, il m'est apparu que le professeur d'aïkido dont je n'espérais plus l'existence se tenait là, devant moi, et qu'il enseignait cette discipline à mes garçons. Un maître à la fois doué et modeste qui transmet ce qu'il prétend transmettre, qui ne s'encombre ni de verbiages inutiles, ni d'excès de mysticisme et qui, dans son dojo fait régner une profonde bienveillance et une ambiance douce et amicale.     

 

Il a encore fallu que six mois passent et que je m'autorise à déduire quelques heures par semaines au rythme morne du métro-boulot-dodo, pour passer le pas et qu'en septembre 2012 je demande au maître s'il m'autorisait à monter sur le tatami.

 

Depuis ce jour, l'aïkido ne m'a plus quitté un instant. J'ai suivi assidûment les cours au dojo, assisté chaque année aux stages d'Alain Peyrache, le maître de mon maître, étudier la cosmogonie extrême orientale dont ma grand-mère me berçait jadis en composant ses ikebana ou en donnant cours à ses propres élèves. Je me suis mis à penser aïkido, à chaque instant. Pour découvrir que cette discipline non seulement m'apportait un calme intérieur particulier, mais me permettait d'accéder à une aisance, une tranquillité et une douceur sans pareil. Et si je n'ai jamais eu beaucoup de difficulté lorsqu'il s'agissait d'assumer un conflit, aujourd'hui, j'aborde les inévitables tensions de la vie avec une plus grande sérénité.

Matthieu Arnhem, uchi deshi.

Après avoir été introduit à l'aïkido par mon sempaï Gaetan Wolff, j'ai très vite été séduis par la philosophie de vie proposée par cet art martial. 

 

En effet, l'aïkido incarne pour moi l'art martial dans un sens profond : transformer une situation martiale, de combat ou d'opposition en une situation harmonieuse, un objet d'art. L'application de ses principes permet d'apprendre à aborder les situations conflictuelles de la vie de tous les jours de manière calme, sereine et détendue. L'aïkido ne se pratique pas seulement au dojo, il s'exporte dans notre vie quotidienne. De plus, il nous apprend à contrôler notre corps et à l’entraîner aux réflexes qui nous préserverons. Il apporte également le respect de l'autre et offre une formidable étude du corps humain, son équilibre, ses points forts et ses points faibles. Sa pratique traditionnelle permet d'évoluer au rythme de chacun des pratiquants, harmonieusement, sans épreuves, sans combats, sans adversaires, dans la bonne humeur et la camaraderie.

Christian Tirilly, uchi deshi.

 

J’ai découvert l’aïkido il y a quelques années, en faisant tout simplement un essai au dojo.

 

Je n’avais pas d’attente particulière, je voulais simplement découvrir un art martial dans une bonne ambiance.

 

C’était la première fois que je pratiquais et j’ai tout de suite accroché sa philosophie et sa pratique traditionnelle.

J’ai un travail exigeant en temps et ce n’est que progressivement que je me suis impliqué dans cette discipline martiale.

 

Au dojo, l’accueil qui m’a été réservez était bienveillant et le professeur particulièrement pédagogue.

 

C’est grâce à cela et une pratique assidue que j’ai pu progresser.

Florence Rosenfeld, deshi.

Contact :  aikido.uccle@gmail.com | + 32 485 02 23 49

L'idéal est de venir nous rencontrer un peu avant un cours.

Les mardis et mercredis :

Place Saint-Job, 20 - 1180 Uccle

​Les samedis :

Chaussée d'Alsemberg, 946 - 1180 Uccle

Les cours enfants (6 - 12 ans) ont lieu :

Les mercredis à 18h

Les samedis à 9h30

​Les cours adultes et adolescents ont lieu :

Les mardis à 19h

Les mercredis à 19h

Les samedi à 10h30

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